+Vampire+, l'internat Ibichi
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 le prix de la douleur ( pv : ren )

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Maria takahashii

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MessageSujet: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeDim 3 Avr - 8:10

Aquoi ressemble une fille qui à perdue son âmes soeur ? cette question me trotte dans la tête depuis quelques temps , mais je ne voulais pas y répondre pour autant . Depuis que Stephen était partit , je n'était plus Maria , je n'y ressemblais même plus . Mon teint était devenu le plus pâle de tout ceux du lycée , mes yeux ternes et sans vie et mes lèvres neutres et enfin je ne me nourrissais plus . Mes genous ramenés contre ma poitrine dans cette salle de jeu ou un groupe de filles jouaient ,il n'y avait qu'un mort pour me décrire , morte , sans âme . je regardais le vide , mais mon esprit me crier de me ressaisir , ma gorge de me nourrir et mon coeur ne disait rien plonger dans un lourd sommeil de glace . Une seule question tournait en boucle dans mon esprit ,ou était-il ? .. que faisait-il ? .... mais je n'aurais aucune réponse et je ne m'aperfcu que bien plus tard des regard de compassions ou moqueur des filles .

( sorry c'cour :/ )
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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeMer 6 Avr - 17:31

[t'inquiète, c'est pas la longueur qui compte, c'est ce que ce rp va inspirer!^^]

Cette journée était marquée par mon retour à l'internat Ibichi, après en avoir discuté avec mon mentor, alias la directrice de l'internat, Shuko Fujisaki. Cette fois-ci, je pouvais dévoiler ma véritable identité. Oui, j'avais menti depuis le début. Je ne m'appelais pas Stephen Leister comme je l'avais prétendu, mais Ren Azawa. Les raisons de ce mensonge? Il me fallait cacher ma véritable identité, sinon je risquais de me faire tuer par d'autres démons. Et j'aurai pu attirer des ennuis à mes proches. Dans le royaume des enfers, ma tête était mise à prix après que j'ai commis l'acte irréparable. L'acte qui signifiait que j'avais trahi les miens, que j'avais désobéi au maitre des enfers. Et c'était justement à cause de ça que j'étais recherché. Récemment, j'avais quitté l'internat, mais ce n'était pas parce que je ne voulais plus y mettre les pieds. Pourquoi aurais-je voulu partir de cet internat alors que j'y avais rencontré la plus merveilleuse personne au monde? Celle que j'aimais par-dessus tout, celle pour qui j'étais prêt à tous les sacrifices : la sublime Maria. Non, la raison de mon départ précipité était tout autre : les démons qui me recherchaient avaient retrouvé ma trace, malgré mon changement d'identité. Si je n'étais pas parti, j'aurai apporté le chaos à l'internat et pire encore : j'aurai mis en danger la vie de Maria. Oui, ces démons étaient cruels et sans pitié et ils n'auraient pas hésité à se servir de ma petite-amie pour que je me rende. Cette perspective m'avait été insupportable et sans même en parler avec Maria, j'étais parti afin d'éloigner ces démons de l'internat. Il m'avait fallu plusieurs mois avant de les emmener sur une fausse piste. Mais au final, j'étais débarrassé d'eux pour un moment. Et lorsqu'ils me retrouveront, je saurai comment faire pour défendre ceux que j'aime. Pendant ces longs mois loin de l'internat et de ma bien-aimée, j'avais grandi, et j'avais maintenant 18 ans. Lorsque j'étais arrivé ici, j'en avais 17 et demi. Mon teint était plus mat qu'auparavant et mes cheveux étaient moins disciplinés.

Bref, j'étais revenu, mais une seule chose occupait mes pensées : Maria voudrait-elle encore de moi après ce que je lui avais fait? Me pardonnerait-elle un jour? Si elle ne me pardonnait pas, alors... alors je n'aurais plus qu'à repartir. Sans elle, à quoi bon rester? Je n'aurai pas le courage d'affronter son regard jour après jour si elle me rejetait. Mon cœur en serait endolori à jamais, mais ne l'avais-je pas cherché au fond? Je ne pourrai m'en prendre qu'à moi-même. Mais je ne pensais que vouloir protéger la personne que l'on aime par tous les moyens était mal...

Et alors que mon esprit vagabondait et que je me torturais les méninges, je l'aperçus : Maria était là, dans la foyer des élèves. Elle était prostrée, ses genoux contre elle, le teint blafard, encore plus que n'importe quel Vampire. J'avais pris l'habitude de voir des éclats joyeux dans ses yeux, mais même en m'approchant doucement d'elle, je ne vis rien que des yeux sans vie et ternes... Mon cœur se serra lorsque je compris pourquoi elle était dans cet état. Elle n'était plus elle-même et semblait se désintéresser de la vie. Elle cachait sa souffrance par cette apparence dénuée de vie. En partant, jamais je ne me serai imaginé lui faire autant de peine. Bien sûr, je savais qu'elle prendrait très mal cette histoire. Mais je l'aurai imaginé en colère, furieuse, non pas malheureuse et d'une tristesse incomparable. Il était temps que je lui explique clairement qui j'étais. Que je lui explique que mon démon intérieur était dangereux. Que j'étais recherché et qu'on cherchait à me tuer. Bref, que j'étais un danger pour elle. Je l'aimais, mais je crois bien que c'est ce qui la met en danger. Si elle ne m'avait pas rencontré, elle ne souffrirait pas aujourd'hui. Je ne pouvais pas la laisser dans un tel état, je devais faire quelque chose pour elle. Je devais... la quitter, pour qu'elle trouve le bonheur et la paix. Je n'étais pas l'homme qu'il lui fallait. Et même si je devais vivre malheureux toute ma vie, si elle trouvait le bonheur avec un autre homme, cela me suffirait. Mon cœur me disait de ne pas faire ça, de recoller les morceaux comme je pouvais et de rester auprès de Maria toute ma vie. Mais ma raison me criait que j'étais trop dangereux pour elle et que la meilleure chose que je pouvais faire était de la quitter.

Et pendant que mon cœur et ma raison me dictaient tout deux un chemin opposé, je m'approchai de Maria. Je ne savais toujours pas comment réagir et que faire lorsque je m'accroupissais afin de me retrouver à sa hauteur. Et enfin, je lui adressai ces quelques mots, ne sachant pas comment m'excuser auprès d'elle :


{Ren}_Maria... je... je... il faut que je te parle... que je t'explique pourquoi je suis parti sans rien te dire et qui je suis en réalité... Je t'en prie, laisse-moi au moins t'expliquer, après tu feras ce que tu voudras...

Je l'implorai du regard de m'écouter et de ne pas s'enfuir. Mon sourire habituel avait disparu et laissait place à une expression grave et désolée...
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Maria takahashii

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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeJeu 7 Avr - 22:38

La douleur lascinante de ma gorge m'hurlait d'avaler quelques peut de ce nectar rougâtre , mais non , je n'enavais aucune envie , non , je n'avais envie que de ... mourir ? ...pas une mauvaise idée me direz-vous , à moin que je ne devrais tourner la page ? .. non ..jamais . Et soudain , comme une douleur ressurgissante , me revînt en mémoire le souvenir du jour de son départ . C'était le lendemain du jour où il c'était confié , ca c'est passeer très simplement je ne l'ai plus jamais revu ,depuis , au début , j'était inconsolable, je ne cessais de pleurer , je séchais , puis je me suis rendurcit et j'ai pris des seances de psychologue mais je ne faisais que de me braquer et j'ai une perfusion tout les soirs , de sang , car je n'ingurgite plus rien depuis quelques année , je suis plus maigre qu'un os , un cadavre ambulant . Soudain je vis stephenn s'approcher de moi et s'accroupir devant .

- stephen? ... je me suis endormie ou ? ... bizzare de rêver en plein jour ...
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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeVen 8 Avr - 22:07

[tu m'as bien inspirée là, j'en écris des choses sans m'en rendre compte^^ J'adore déjà les retrouvailles!]

Après que je me sois accroupi près d'elle, Maria me dit, semblant être complétement perdue :

- stephen? ... je me suis endormie ou ? ... bizzare de rêver en plein jour ...

Mon cœur se serra. Sa mémoire semblait vouloir faire l'impasse sur ce qui s'était passé. Un trop grand choc émotionnel. Ou peut-être refusait-elle de croire ce qui s'était passé? Je l'observai de plus près et ne put m'empêcher de culpabiliser. Maria... Maria était tellement maigre. Elle avait perdu beaucoup de poids en quelques mois, depuis que j'étais parti. Même si pour le moment, elle ne m'avait rien dit, je voyais bien qu'elle souffrait : il suffisait de la voir pour comprendre. Même les filles qui se trouvaient dans le foyer la regardaient avec des regards plein de pitié et de compassion. Et si elle souffrait, ce n'était pas pour rien : c'était ma faute. Elle m'aimait et cela avait dû lui faire un sacré choc lorsque j'étais parti sans rien dire... Si seulement j'étais resté... Si seulement je n'étais pas un démon... Si seulement je n'avais pas commis cette erreur qui m'avait amené à être recherché par les autres démons du monde souterrain... Stop! Ce qui est fait est fait, je ne pouvais pas revenir en arrière. Et puis, je n'avais pas fait ça de gaité de cœur. J'étais parti en pensant que c'était le mieux que j'avais à faire pour la protéger, malheureusement, j'aurais dû tout lui expliquer avant de partir. Je n'avais pas mis les formes à mon départ. Maintenant, c'était un peu tard, le mal était fait. Ma si belle Maria se laissait aller par désespoir, je l'avais sans aucun doute terriblement déçu. C'était si déchirant de la voir dans cet état, mon cœur en était serré, elle semblait se laisser mourir... Non, je ne voulais pas la voir mourir! Celui qui fait pleurer une femme ne la mérite pas. Est-ce que je méritais vraiment cet ange? Je l'aimais, et je l'avais amené à m'aimer, et maintenant, j'étais en train de la... de la... de la tuer! Comment pouvais-je faire une chose pareille?

Mes idées n'étaient pas très claires, mes pensées étaient très embrouillées tant j'étais bouleversé des changements physique de ma bien-aimée. Ce n'est que plus tard que je pus enfin mettre de l'ordre dans ma tête. Les sentiments ne se commandent pas. Je ne l'avais pas forcé à m'aimer : c'était simplement qu'elle avait développé des sentiments amoureux pour moi, sans doute sans le vouloir d'ailleurs. L'amour est irrationnel et nous tombe dessus par surprise. Je ne la tuais pas vraiment : mon départ à l'improviste avait blessé l'amour qu'elle me portait. Et c'était cet amour qui la tuait. Mon départ l'avait bouleversé parce qu'elle m'aimait, et comme je n'étais plus là, c'était comme si elle aimait un fantôme : un amour sincère mais blessant car personne ne répond à ce sentiment. Et apparemment, ce sentiment d'abandon l'avait conduit à une sorte de dépression, qui la poussait à s'auto-détruire.

Je n'avais jamais pensé à la condition de Maria : elle était vampire et devait se nourrir de sang. Alors même les vampires pouvaient maigrir s'ils n'avalaient pas sang apparemment. Elle se privait donc de sang. Mais pourquoi se laisser aller pour un homme? Je me disais que je pourrais bien faire quelque chose pour elle... Mon sang ne valait peut-être pas celui d'un 100% humain, mais il lui permettrait peut-être de retrouver des forces, elle qui semblait si faible... Ce que je souhaitais par-dessus tout, c'était qu'elle reprenne goût à la vie, qu'elle ne se laisse plus aller à cause de moi. Et cette guérison devait commencer par une nutrition correcte. Alors, avant de commencer les explications, je lui dis d'une manière très sérieuse en la regardant dans les yeux :


{Ren}_Maria... Tu ne vas pas bien... Tu ne te nourris plus, n'est-ce pas? Tu dois boire du sang... Je t'en supplie... Prends mon sang pour reprendre des forces... Tu ne peux pas continuer comme ça, sinon tu vas... tu vas... tu vas mourir... Je t'en supplie, ne fais pas ça... Je t'aime et je ne supporterai pas que la vie te quitte à cause de moi...

Puis je fis sortir l'une de mes griffes de démon afin de m'entailler le cou. Du sang commença à perler à la coupure que je m'étais faite. Je m'approchai doucement de Maria en prenant ses épaules dans mes mains.

{Ren}_Vas-y, bois... Prends tout le sang que tu voudras. Je t'expliquerai tout après que tu aies repris des forces. Allez, bois sans te priver...

Je posai une main dans le dos de Maria et l'autre derrière sa tête dans ses cheveux, afin de la forcer à s'approcher doucement de mon cou. Je tenais sa tête aussi près que possible de mon sang, afin que l'envie de boire se fasse sentir, pour qu'elle mange. J'avais entendu dire quelque part que les Vampires pouvaient sentir les émotions des gens à travers leur sang. J'espérai que c'était vrai. Je voulais qu'elle voit dans mon sang à quel point je l'aimais. À quel point j'étais désolée et je m'en voulais. Je voulais qu'elle ressente ma sincérité et mon inquiétude quand à son état psychologique et à sa santé. Peut-être verrait-elle aussi que le démon qui m'habitait était dangereux. Je ne savais pas quelles étaient les limites de cette théorie...
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Maria takahashii

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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeSam 9 Avr - 0:19

{ je pleure en lisant tes rp >•< mddr }

Cet homme ressemblait à Stephen , mais ce n'est pas lui , Stephen est parti , il n'est pas là et ce jeune homme n'est qu'un imposteur , un menteur .. aussi cruel que le Stephen original , le vrai . Je ne voulais pas accepter une véritée évidente , ses yeux et ses cheveux étaient toujours de cette même teinte violete , plus long peut être , sa peau toujours aussi belle , il avait grandit , et sa musculature c'était développée . Alors c'est lui ? ... il est temps que je m'y fasse , il est revenu . Si je n'avais pas changeais , si j'était encore un semblant humaine physiquement et si j'étais moi même mentalement , je lui aurais sauté au cou , je l'aurais embrassé , mais je ne l'étais pas , je ne l'étais plus , j'étais ... quelque chose c'était la seule chose que je savais et c'étais bien asser . Ausi , lorsqu'il s'agenouilla près de moi , qu'il me suggera de boire son sang , je ressentie une rage montée en moi , une douleur et le besoin de ma perfusion . Mais il se pressa contre moi , une plaie dans son cou , je tenta de le pousser mais ma force était quasi inexistante , et j'avais l'impression de pousser de l'air . Je profita de mon amégrissement et de ma voix auparavent aussi legère qu'un carillon était fade . Je marcha droit devant moi en l'ignorant .

- Jamais ...

Sur ce , je grimpa dans ma chambre et m'assied sur mon lit , me mettant la perf' en soupirant .

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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeSam 9 Avr - 20:13

[C'était pas mon intention, mais d'un côté, c'est bon à savoir x) comme ça je sais que je touche le cœur des gens en écrivant et ça me motive!^^ enfin perso, quand je me lis, je me fais ni chaud ni froid xD]

Devant l'amaigrissement et la faiblesse physique de Maria, j'avais décidé de lui donner mon sang. Je m'étais fait un entaille au cou pour qu'elle sente l'odeur du sang et qu'elle y goutte. Et puis, peut-être qu'elle comprendrait mon choix au travers de mon sang. Peut-être qu'elle ressentirait mon amour et ma désolation face à ce que j'avais fait. Était-ce vrai que les vampires pouvaient ressentir les sentiments de leur «victime» à travers le sang? Je l'espérai. Je la tenais contre moi, cherchant à tout prix à la faire boire mon sang. Je continuai de murmurer *Vas-y, bois, je t'en prie...* en espérant qu'elle boive, qu'elle se nourrisse pour retrouver des forces. Si elle perdait la vie à cause de ce que j'avais fait, jamais je ne m'en remettrai. Tout ce qui m'importait, c'était de la voir en vie, en bonne santé et heureuse, même si ce devait être dans les bras d'un autre et si je devais en souffrir. J'étais prêt à tous les sacrifices pour elle, y compris à mourir si elle voulait me vider de mon sang maintenant.

Malheureusement, ma jolie vampiresse ne l'entendait pas de cette oreille : je sentais qu'elle se débattait et qu'elle tentait de me repousser avec le peu de force qu'elle avait. Puis elle m'échappa, profitant de sa maigreur pour me glisser entre les bras. Puis elle me lança, de sa voix devenue fade :


«_Jamais...»

Sa voix, aussi jolie qu'un carillon, et où perçait habituellement sa joie, s'était transformée. Elle était dénuée de toute trace de vie, comme si la vie avait déjà quitté son corps. Cela ne faisait que renforcer l'impression qu'elle donnait lorsqu'on la voyait : une morte-vivante. Certes, elle était en vie, mais à quel prix? Elle ne semblait pas s'intéresser à la vie et semblait lasse. Je commençai sérieusement à me demander si elle m'aimait encore. D'un côté, si elle était si malheureuse, c'était sans doute parce qu'au fond d'elle-même, elle m'aimait encore. Mais d'un autre, le fait qu'elle ait refusée mon sang signifiait peut-être qu'elle voulait couper les ponts? Je ne savais pas, je n'étais sûr de rien. Je ne savais plus où j'en étais, ni ce que je devais faire.

Ma seule certitude était que je devais la sortir de cet état, coûte que coûte. Comment? Je ne savais pas. Je devais la guérir de moi. La guérir de son amour pour moi, qui la blessait. Et cela devait passer par des explications : je devais lui expliquer les raisons de mon départ, et de son côté elle devait déballer son sac et laisser sortir tout cette douleur qu'elle avait gardé en elle pendant ces longs mois. Ensuite seulement, elle pourrait s'en sortir. Soit elle m'aimait encore et nous resterions ensemble pour le restant de nos jours. Dans ce cas, il serait plus simple pour moi de la soigner : je prendrai soin d'elle, je lui redonnerai goût à la vie, je la chérirai et l'aimerai de plus en plus chaque jour. Dans le cas contraire, elle ne voulait plus de moi. Si tel était son choix, je le respecterai. Je m'assurerai de loin qu'elle reprenne goût à la vie et qu'elle soit heureuse auprès d'un autre que moi. Cette perspective me rendait malade, mais j'étais prêt à souffrir pour qu'elle, elle soit heureuse. J'étais prêt à m'éclipser, à la laisser à un autre, qui saurait prendre soin d'elle comme il se doit, quitte à passer ma vie seul. Quitte à vivre malheureux toute ma vie : je l'aimais, et si elle n'était pas à mes côtés, la vie n'aurait plus aucun sens.

Je n'en étais pas encore là, pour le moment, je devais m'expliquer avec Maria. Elle marcha en direction des dortoirs et rejoignit sa chambre. Je le suivis et entrai dans sa chambre, refermant la porte derrière moi. Ce que je vis me souleva le cœur. Maria... Maria devait utiliser des perfusions de sang pour se nourrir, preuve une fois de plus de son état catastrophique. Je crus que j'allai vomir face à cette vision. Je me retournai, dos à elle et tête contre la porte. Une fois de plus, la culpabilité m'envahit. C'était ma faute. Comment pouvais-je la laisser dans un tel état? Comment pouvais-je encore me regarder dans une glace après ça? J'étais un monstre! Je serrai les poings, en colère contre moi-même. J'avais envie de frapper ma tête contre un mur.

Finalement je retournai et m'approchai doucement d'elle. Elle était assise sur son lit. Je m'accroupis devant elle et lui dit, le regard désolé et sur un ton triste :


{Ren}_Pourquoi? Pourquoi tu ne veux pas de mon sang? C'est la seule chose que je puisse encore faire pour te soulager. Tu peux prendre mon sang. Et même si tu me vides de mon sang, je me laisserai faire. Considère ce don de sang comme un maigre dédommagement pour ce que je t'ai fait endurer.

Je la regardai droit dans les yeux. Et après une pause, j'enchainai d'une voix douce, ne voulant pas la brusquer :

{Ren}_Et si on s'expliquait, toi et moi? Dis-moi tout ce que tu as sur le cœur, laisse ta colère et ta souffrance s'exprimer. J'ai vu que tu vas mal. Je sais que c'est à cause de moi que tu vas mal. Mais je veux l'entendre de ta bouche. Et ensuite, je t'expliquerai les raisons de mon départ.

J'attendis qu'elle parle...
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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeLun 11 Avr - 6:35

Je ne regardais que ma perfusion , je cherchais une veine saillente en vain et ma main tremblait terriblement je me " charcuter " le bras avec cette aiguille mais je n'arrêteraais pas tant que je ne l'aurais pas piquer correctement . Mon regard se détourna vers lui et passa par une glace , surement la seule que je n'avais pas enlever . Je tira la perfusion avec moi et me posta devant le miroir . J'étais horrible . Mes joues creuse , mes côtes saillente , mes yeux fade mes jambes squelettiques et mon bras charcuter , je me laissais mourir . Et aujourd'hui j'avais ouvert les yeux , je regarda stephen , et me placa contre lui mon visage dans son torse , faisant resurgir de vieux souvenirs devenus douloureux . Je leva mes yeux vers lui et le regarda .

- quand tu es partis , au début je passais mes journées et nuits à pleurer . ensuite je me suis renfermer et la psychologue n'a rien pus pour moi . et enfin je me suis arreter de " vivre " jusqu'a ce que je me vois dans le miroir , je ne resterais pas ainsi , mais je t'aime tellement que je te deteste , j'ai envi de te planter là , de te faire souffrir sans ménagement , mais je me tuerais après , j'ai aussi envie de te serrer contre moi , de boire , de t'aimer , de me soigner . alors je vais faire comme ca .

Je m'écarta de lui et lui envoya une gifle si violente que je n'en doute pas resonne même dans la chambre d'a coter . Puis je le regarda et , l'allongeant sur le lit , je me mis sur lui et lécha son cou , croquan et bus à mes désirs , mon envi incontrolable le fut déjà plus et je pus me retirer e lui de facon a ce qu'il n'ai pas de fatigue ou de trouble . Ensuite , par le miracle du saint-esprit surement , je redevin une " personne " et j'embrassa stephen à pleine bouche lui serrant tellement fort le cou que ces cervicales en prendraient un coup . Me retirant , je partis me doucher laissant la porte entrouvertte pour pouvoir entendre ce qu'il avait à dire .
( hrp : ne voi rien de pervers >< )
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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeSam 16 Avr - 0:21

[HRP : non, rien de pervers xD C'est une incitation pour Ren vienne la rejoindre et se mette à poil? XD *sbam* je plaisante, hein^^]

J'avais voulu proposer mon sang à Maria face à sa souffrance, tant physique que morale. Mais elle s'était enfuie du foyer et avait regagné sa chambre. Et c'était là que je l'avais découverte, en train de se faire une perfusion de sang. Elle en était amenée à se nourrir avec une perfusion! Ça m'avait fait un sacré choc et face à cette vision, je crus que j'allais vomir, ce fut pour cette raison que dans un premier temps je me tournai face à la porte et dos à elle. La culpabilité commençait à me ronger. Qu'avais-je fait? J'avais l'impression d'avoir tout foutu en l'air! Mais avais-je eu le choix? Si j'étais resté, elle aurait pu se faire tuer et j'aurai en plus provoquer le chaos dans l'internat de mon mentor...

Lorsque je m'étais retourné vers elle, je l'avais vu qui se «charcutait» le bras pour y planter l'aiguille de sa perfusion. Je m'étais approché d'elle et c'est à ce moment-là que je lui avais dit qu'il fallait qu'elle me dise tout, qu'elle vide son sac, qu'elle laisse sa souffrance s'exprimer. Je vis un miroir, et elle aussi l'avait vu : elle s'en approcha et se regarda dedans. Elle ne se rendait sans doute pas compte de l'état dans lequel elle était. Mais moi, je le voyais bien, je n'avais pas besoin d'un miroir : elle se sentait mal, très mal, mon départ l'avait plongé dans une sorte de dépression et elle avait perdu beaucoup de poids. Elle n'avait plus que la peau sur les os, elle ne se nourrissait pas comme elle le devrait. J'étais en quelques sortes responsable. C'était paradoxal, mais en voulant la protéger, je l'avais fait souffrir. Et elle se laissait mourir. La vie ne semblait plus avoir aucun intérêt pour elle : était-ce par amour pour moi, ou au contraire parce qu'elle me haïssait? J'avoue que je ne savais pas, elle m'envoyait des signaux contradictoires...

Puis, alors que je m'attendais à tout sauf à ça, Maria, ma douce Maria, vint se placer contre moi, la tête dans mon torse. Instinctivement, je posai mes bras derrière son dos et la serrait contre moi. J'avais ressenti son absence : pendant mon exil, il arrivait fréquemment que mes bras cherchent quelqu'un à serrer. Son contact me manquait. Sa présence me manquait. Son sourire me manquait. Et plus encore : la force de son amour me manquait. Mon corps la cherchait et la réclamait. Il me semblait à ce moment même qu'elle m'aimait, et que je parvenais moi aussi à lui faire sentir à quel point je l'aimais. J'étais fou d'elle, je l'avais dans la peau. Elle leva les yeux vers moi et me dit :


-quand tu es partis , au début je passais mes journées et nuits à pleurer . ensuite je me suis renfermer et la psychologue n'a rien pus pour moi . et enfin je me suis arreter de " vivre " jusqu'a ce que je me vois dans le miroir , je ne resterais pas ainsi , mais je t'aime tellement que je te deteste , j'ai envi de te planter là , de te faire souffrir sans ménagement , mais je me tuerais après , j'ai aussi envie de te serrer contre moi , de boire , de t'aimer , de me soigner . alors je vais faire comme ca .

Et alors, elle s'écarta de moi et me gifla violemment. Une gifle qui siffla et un coup qui résonna. Je l'avais sans aucun doute mérité. Je me disais que c'était une réaction normale, plus normale que celle de me fuir. Elle avait besoin d'évacuer sa rage et sa haine. La frontière entre l'amour et la haine est très mince, et l'on peut passer de l'un à l'autre plus facilement que l'on ne le pense. C'était sans doute ce qui se passait avec Maria. Puis elle m'allongea sur le lit, se mit sur moi et lécha mon cou. Elle comptait boire mon sang. Je me laissai faire, j'étais à sa merci. Je ne bougeais pas et l'incitais à donner libre cours à ses désirs. C'était la moindre des choses, après ce que j'avais fait. Elle but, se nourrissant jusqu'à ce que son désir s'arrête. Elle arrêta de boire mon sang, sang que je lui offrais de bon cœur : je me demandais toujours si un vampire pouvait sentir les sentiments de sa victime à travers son sang. Si tel était le cas, j'espérai qu'elle ait lu que je l'aimais comme un fou, que j'étais prêt à tout pour la satisfaire.

Puis elle m'embrassa à pleine bouche. Ce fut un baiser violent et brutal, un baiser reflétant un profond désir, un amour violent et trop longtemps contenu. Mais avant même que j'ai compris ce qui se passait, Maria se retira et alla dans la salle de bain, d'où j'entendis couler l'eau de la douche. Je me relevai et passai ma main dans mon cou, sans plus prêter attention à la légère douleur que je ressentais à cet endroit. Je me levai du lit et commençai à parler, d'abord hésitant :


{Ren}_Maintenant, c'est à mon tour. Je ne sais pas par où commencer, j'ai tellement de choses à t'avouer... Alors je vais commencer par mon passé, puisque mon départ y est en quelques sortes lié. Comme tu le sais, je suis un démon, mes parents étaient donc démons. Mais au lieu de vivre comme tous les autres démons et de faire le mal, mes parents vivaient sur terre parmi les humains et ont scellé à jamais le démon qu'ils avaient en eux. Le roi des démons a considéré cet acte comme une trahison et a cherché à les tuer pendant plusieurs années, sans succès. On déménageait souvent, pour éviter de nous faire prendre par ceux qui voulaient tuer mes parents. Ils voulaient sceller ma partie démoniaque à jamais, mais ils n'en ont jamais eu le temps. Les démons nous ont retrouvé et ont tué mes parents alors que j'étais à l'école. Quand je suis revenu chez moi, je les ai vu allongés au sol, baignant dans une mare de sang. J'étais effondré, triste, mais en même temps, très en colère. Je voulais tuer ces démons qui avaient tués mes parents. Je voulais me venger du roi des démons, qui avait commandité leur mort. C'est à ce moment-là que j'ai laissé la haine m'envahir et j'ai laissé le démon qui m'habite prendre le contrôle de mon corps. Oui, car je ne contrôle pas ce démon. Une fois qu'il a pris possession de mon corps, c'est comme si j'étais prisonnier d'un corps qui n'est pas le mien. Mon démon est l'être le plus vil que je connaisse. Il est dangereux, et par la même occasion, je suis dangereux si je ne maitrise pas ma colère. Je suis allé sous terre, dans le royaume des enfers et j'ai tué tous les démons qui me barraient la route. Lorsque j'ai vu le roi des démons, je me suis battu avec lui, mais j'ai perdu et il m'avait gravement blessé. J'aurai pu mourir si j'étais resté là-bas. C'est en revenant sur terre que j'ai pu redevenir humain. J'ai été recueilli par une femme hunter, elle m'a soigné et m'a pris sous son aile. Mais depuis ce jour, je suis recherché pour trahison et tentative de meurtre sur le roi des démons. Il envoie des démons pour me trouver et me tuer. Jusqu'à il y a quelques mois, j'avais réussi à me cacher ici, à l'internat, sous un faux nom : Stephen Leister. Oui, Stephen n'est pas ma véritable identité. Je m'appelle Ren, Ren Azawa. Il y a quelques mois, les démons m'ont retrouvé et c'est pour ça que je suis parti sans rien te dire : je n'avais pas le temps de t'expliquer, si je restais trop longtemps ici, ils t'auraient sûrement... tué, et ça, je ne voulais pas que ça arrive. Et c'est parce que j'avais peur de ce qui pouvait t'arriver par ma faute que je suis parti. J'ai éloigné ces démons de l'internat, ils ne sont pas prêts de me retrouver. C'est pour ça que je suis là aujourd'hui.

Voila, j'avais tout expliqué. Entre-temps, je m'étais adossé au mur près de la porte de salle de bain et je m'étais laissé glisser pour m'asseoir au sol. Les larmes me montèrent aux yeux, cependant, je ne voulais pas les laisser couler. La voix sincèrement désolée, j'ajoutai :

{Ren}_Je suis sincèrement désolée de t'avoir menti sur moi pendant tout ce temps... Je suis désolé... Je n'avais pas d'autres choix que de faire ce que j'ai fait... Je ne voulais pas que ces démons te fassent du mal, je ne l'aurai pas supporté... je t'aime bien trop pour te laisser mourir... Aujourd'hui, quand je t'ai vu dans cet état, je m'en suis voulu. Je m'en veux de ce que je t'ai fait subir. J'aurai dû tout t'avouer dès le départ, mais j'ai eu peur que ça t'attire des ennuis... Tu sais, tu m'as manqué, je n'ai cessé de penser à toi. Je t'aime et je suis prêt à tous les sacrifices pour te rendre heureuse. À toi de voir si tu veux toujours de moi ou pas. Je respecterai ta décision...
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Maria takahashii

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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitimeSam 23 Avr - 19:27

La douche coulée sur moi doucement , detendant mes muscles et faisait coulé le sang qui souillé mon poignée . Je me demandais ce que je faisait j'étais confuse avec lui et moi même , je l'avais giflé , mordu et embrassé , que faire ? je voulais resté avec lui le serrer contre moi mais si il s'en aller a nouveau ? si il me laissait a jamais ? je ne supporterais pas une nouvelle séparation , mais d'un autre coté , il était doux , gentil , sensible et il s'en voulait , il nous avaient sauvé et il s'était sacrifier pour nous ; je ne pouvais le laisser sortir et aussi , lorsque j'eu finis de me laver , et de m'habiller a nouveau , Je lui sauta au cou et l'embrassa tendrement amoureusement , caressant son torse et croisant mes bras dans sa nuque .

- Je t'aime tellement si u me laisse encore je t'étrangle et je vide ton intérieur dans la soupe de la cantine ! ... je t'aime ..

Je jeta un coup d'oeil a mon attirail et le glaça d'un coup d'œil , les détruisant au passage . Jamais plus je ne le laisserais passé le pas de cette porte . je m'assis sur mon lit et regarda ma chambre , je ne savais comment réagir et quoi dire autant dire qu'il risquait d'y avoir un gros blanc ...

( excuse moi !! x) mais mon inspiration c'ets envolé -_-' sorry )
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MessageSujet: Re: le prix de la douleur ( pv : ren )   le prix de la douleur ( pv : ren ) Icon_minitime

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